lundi 6 août 2007

Quand le team building se transforme en barbecue...

Ah, oui! Depuis 2 semaines je suis embauche dans une agence d'événementiel. Ce que je fasse exactement la...je vais vous dire dans 2 autres semaines, quand je dois choisir le titre pour mes cartes de visite. Déjà les postes suivants sont pris:
  • coffe maker= la personne qui prépare le meilleure café (Florin)
  • coffe breaker= la personne qui détient le record pour le nombre des pauses des café qu'elle prenne chaque jour (Ana)

Il me reste toujours le “bonsaï keeper”, car on a just acheté un petit joli bonsaï. Sinon, ils se passent que des choses sérieuses dans mon agence...

Je vais commencer avec le début: les premiers 3 jours on est parti en “team building” à la montagne. La, “le grand boss” à une vieille maison, sans eau courante, mais avec une cour très accueillante.

Equipement/accessoires: 9-11 personnes, 1 écran de projection, 2 ordinateurs portables, 3 installation de lumière (avec des effets spéciaux), 3 grands écouteurs (2300watts), 4 micros, 1 appareil de mixage, une liste de karaoké, 3 hamacs+ beaucoup de nourriture.

Le psychologue n'a pas pu venir, donc on a renoncé aux jeux typiques pour un team building. On les a remplace par :”la mime”, “les criminels”, “amener de l'eau de la fontaine chaque matin” et “les filles font toujours la vaisselle”.

JOUR 1: Installation. Premier barbecue, attendu par un concert des estomacs.

Révolte contre le sédentarisme: j'arrive à convaincre 2 garçons se balader avec moi. Le village nous offre ses vieilles demeures à voir. Plus loin, dans la foret, je découvre une maison abandonnée; court photo-shooting. Le résultat se trouve en bas. Rencontre avec une vieille femme qui nous raconte sa vie. Adi et Mihai essayent de lui expliquer que le Dj-ing est un vrai métier. Mais elle aimerait qu'on soit plutôt des médecins ou des enseignants. Ou même des éleveurs des chèvres; elle en a deux.

Des accords de guitare, une pastèque, karaoké pour les voisins a 3h du matin et tentative de regarder des films dehors-trop froid. J'ai 2 pulls et une couverture et je tremble encore. Ca s'appelle “délice”, si l'on pense qu'a Bucarest il fait 40 dégrée Celsius. On arrive à voir seulement “La ratatouille”: pas mal!

JOUR 2: Chill out dans la cour. Un voisin nous dise qu'on a une télé tres sympa; on n'essaye pas de lui explique qu'il s'agit en fait d'un écran de projection. Randonné dans les montagnes d'environ. De l'air frais, des sapins et un ciel profondément bleu.

Retour. Barbecue. Discussion libre pour plonger dans les âmes de chacun d'entre nous; pimente avec des jeux jusqu'a 5h du matin.

JOUR 3: Les derniers cafés. Départ nostalgique. Trafic infernal a l'entrée de Bucarest. Chaleur, soif, sommeil.

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